…et enfin la possibilité de voir un match du meilleur championnat de basket au monde. Pas besoin d’attendre la retransmission à 2h du mat’ sur canal ou de faire la chasse aux résumés sur le net pour glaner quelques images. Cette fois-ci rien de moins qu’une place au United Center pour regarder ceux qui ont été 6 fois champion NBA sous l’ère Jordan.
La soirée commence à 19h30, les 2 équipes finissent de s’entraîner. La salle est presque pleine, il doit y avoir pas loin de 20 000 personnes.
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Quelques layups, quelques 3 points, quelques dunks pour se chauffer et c’est parti pour 4 quart temps de 12 min, règles NBA oblige.
Le premier quart-temps est à l’avantage des Raptors plus vifs et surtout plus adroits. Les Bulls sont malgré tout bien en place en défense, récupèrent plusieurs ballons mais manquent de réalisme, ne concrétisent pas leurs contre-attaques et se font pilonner par l’artillerie des Raptors. Bilan 19 – 29 à la fin du premier quart temps.
Petit à petit les Bulls se reprennent, s’appliquent face au cercle et finalement reviennent à un point des Raptors à la pause grâce entre autre à l’insaisissable Deng.
Le Taureau est en marche, les Bulls font la différence dans le troisième quart temps et virent avec 4 points d’avance. Les Raptors reviennent à 3 points avec la dernière possession de balle. Le public scande les derniers “Di-Fense”, “Di-Fense”, le taureau tient bon et verrouille toutes les positions à trois points. Les Raptors ne recolleront pas au score et les Bulls décrochent leur dixième victoire de la saison, la septième à domicile. Score: 93 – 90.
Et comme toujours au United Center, le show est omniprésent et chaque interruption du jeu est un pretexte pour proposer une animation. On aura eu entre autre le droit aux habituelles cheerleaders, à une demonstration de trampoline par le champion des USA de la discipline et plusieurs autres jeux intelligents où le public participe… 😀
Une soirée magique, du jeu, quelques actions exceptionnelles avec notamment un contre énorme de Ben Wallace et un autre venu d’une autre planète du numéro 5, Andres Nocioni. Un vrai régal !